"L'amour du village durera tant que vous n'aurez pas honte, de ce que vous avez fait, ou dit de lui ! " Qui a vist Cassis et noun cassis-forum.com, a ren vist.


Port-Miou et la carrière Solvay !
dossier ouvert le 6/04/2001

Mise à jour le :
mardi 27 novembre 2007

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22 janvier 07 - La Provence

...dernières Infos Mairie de cassis : 23/01/2007

Port-Miou :
la Ville de Cassis maîtrise l’accès du futur Parc National

Suite à l’article paru dans La Provence ce lundi 22 janvier 2007, Jean-Pierre TEISSEIRE, Maire de Cassis, souhaite apporter quelques précisions afin de dissiper les malentendus que l’article publié laisse planer :

- la Ville de Cassis est propriétaire du site : en effet, si la déclaration d’utilité publique est entachée d’un vice de forme reconnu en raison du non respect par les services préfectoraux d’une règle de procédure, en revanche l’utilité publique du projet n’a pas été remise en cause et l’ordonnance d’expropriation est définitive. C’est cet acte qui donne la propriété à la Ville de Cassis, dès lors que celle-ci a payé l’indemnité. Ce qui a été fait sur les deniers communaux, avec l’aide du Conseil Régional et dans l’attente de la contribution du Conseil général au titre de sa compétence dans la conservation des espaces naturels sensibles.
- Evaluation de l’indemnité : l’article sous-entend –d’après l’expert d’une des parties au contentieux- que l’évaluation pourrait être revue à la hausse par la Cour d’Appel de Montpellier. Mais elle pourrait tout aussi bien être revue à la baisse, comme ce fut déjà le cas entre la 1ère instance et la Cour d’Appel d’Aix-en-Provence, qui a réduit celle-ci de 831 000 €. Rien ne permet d’affirmer dans quel sens interviendra le jugement définitif à la lumière des faits nouveaux intervenus depuis l’arrêt de la Cour d’Appel.
- En effet, Jean-Pierre Teisseire souhaite aussi rappeler que le bail emphytéotique signé entre Solvay et Monsieur Godel a été depuis annulé pour fraude à la demande du Conservatoire du littoral : « la conclusion d’un bail emphytéotique avait pour objectif délibéré de permettre à la société Solvay d’échapper, de fait, à l’expropriation » précisait la Cour d’appel, en invoquant le principe de droit selon lequel « la fraude corrompt tout » et au motif que la signature de ce bail révélait la volonté des deux parties de contourner le droit de préemption pour réaliser une opération immobilière. Fallait-il laisser faire ?
- Enfin, pour répondre à la question posée par votre journaliste, à savoir : « quel est le coût d’une calanque ? » : une calanque, ce n’est pas une marchandise soumise aux lois du marché, au gré de la convoitise des spéculateurs. C’est un site classé au nom de l’intérêt général, un patrimoine commun, qui doit rester ouvert au libre accès de tous et qu’il nous incombe de préserver contre la privatisation et contre le béton, pour le bonheur de tous les amoureux de la nature et des générations futures. La calanque de Port-Miou constitue la porte d’entrée principale du futur Parc National des Calanques. Fallait-il abandonner l’accès à la spéculation immobilière et aux intérêts privés ? L’avenir de cet espace fragile et la protection de cet environnement exceptionnel doivent être maîtrisés par les motivations de l’intérêt général.

Il y a longtemps que les juges se sont déjà exprimés sur ce sujet de fond et sur le bien fondé de la procédure en faveur de la Ville de Cassis et la Cour de Cassation ne soulève que des vices de formes. Le droit de propriété de la Ville de Cassis est établi par un jugement définitif. La calanque de Port-Miou appartient à la Ville de Cassis et aux Cassidains. C’est un espace qui doit être protégé et réhabilité après un siècle de dégradation. C’est notre devoir. Ce sera peut-être long de rattraper tout ce gâchis, mais la Ville de Cassis, qui a mis un terme aux dérives spéculatives, ne manquera pas cette chance unique de réhabiliter sa calanque et de la partager avec tous les amoureux de la nature qui seront prêts à la respecter.

CONTACT PRESSE : Virginie SEGUIN
- Tél. : 04 42 01 66 75 / 06 84 82 34 91 - dircom@cassis.fr

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Info AFP AFP du 4/11/2003 : Port-Miou, Godel débouté

Le juge des référés du tribunal administratif de Marseille a rejeté deux requêtes présentées par le locataire en voie d'expropriation d'un terrain situé dans la calanque de Port-Miou pour permettre à la mairie de Cassis (Bouches-du-Rhône) d'acquérir ce site protégé, a-t-on appris lundi auprès de la municipalité.
Denis Godel, qui a été condamné aux dépens à verser à la commune de Cassis 1.500 euros par requête déposée, n'a pas obtenu du juge des référés "la suspension de la procédure de l'arrêté de déclaration d'utilité publique et la suspension de la procédure de l'arrêté de cessibilité".
Dans ses ordonnances rendues le 22 octobre, le juge indique qu'il n'y a pas de doute sérieux quant à la légalité des décisions attaquées.
La commune de Cassis a été autorisée le 3 juin 2003 à acquérir l'ancienne carrière Solvay située dans la calanque de Port-Miou déclarée "d'utilité publique". Cette acquisition permettra de protéger ce site classé et de garantir à tous un libre accès au massif des calanques.
Aucun accord à l'amiable n'ayant pu être trouvé avec le locataire, "la procédure d'expropriation de l'ancienne carrière suit son cours", a déclaré la commune.
Depuis juin 2001, l'installation de Denis Godel, qui avait clôturé le terrain, entravant ainsi l'accès aux calanques de Port-Miou, Port-Pin et En-Vau, avait soulevé d'importantes protestations. Les promeneurs devaient faire un détour par un sentier non sécurisé et escarpé pour accéder à la mer.
Face aux désordres provoqués, le maire Jean-Pierre Teisseire (DVD) avait sollicité la déclaration d'utilité publique pour "préserver définitivement la valeur patrimoniale des lieux en les réhabilitant et garantir l'ouverture gratuite du site au public".
AFP du 4/11/2003


Un vrai panier de crabes ! Port-Miou et la carrière Solvay !

**30/10/2002 - L'ordonnance sur l'expropriation du malgracieux est signée !!!... Le préfet de région vient d'ordonner que l'enquête d'utilité publique soit ouverte en mairie par le commissaire enquêteur à partir du 18 novembre jusqu'au 6 décembre.

Enquête d'utilité publique - voir l'affiche - dates et horaires

Enquête d'utilité publique - conférence de presse 14 janvier 2003
Enquête d'utilité publique - Rapport du commissaire

Depuis Juin 2002... rencontre entre la Mairie et Solvay !!! Aie !?
*Mais le châtelain refuse les propositions du bourgmestre, alors qu'il lui offrait 1,5MF en plus du château !? Bizarre !?… à l'installation de ses clôtures il laissait le tout pour un franc symbolique !!! ...en fait.... le lyonnais n'a jamais eu le projet de simplement habiter la carrière... et comme nous le disions alors... c'est sur les indemnités qu'ils fera son beurre !!!
... (on avance le chiffre de 8 MF) pour qu'il se casse…. ou des garanties pour construire bien plus que la restauration d'un habitat… et 20 places de bateaux ??? le projet immobilier comportait-il aussi une marina et un hôtel de lux ???? et pourquoi pas un chantier naval ?
Si la DUP reste la seule solution…. Pour nous cassidens… il faudra faire méfi… que ces projets ne soient pas repris par une autre équipe… par exemple ...pour le compte d'un Accor !!!
La carrière et ses bâtiments doivent servir uniquement des projets en rapport direct avec le futur parc national des calanques et l'intérêt général…. Point barre.

Le pire dans notre choix avec cette DUP et l'appel au peuple (indirecte) de la Mairie, c'est que nous nous devons de soutenir la maison du bourgmestre... normalement les garants de l'intérêt général... pour espérer mieux... tout en sachant que... le mieux est l'ennemi du bien... quand c'est un flou ...organisé?

Si on ne pose pas le bon énoncé, on a rarement la bonne solution à la question...

Le vrai sujet du débat... Je crois que ce n'est pas la DUP mais plutôt de chercher la meilleure solution (ensemble) pour protéger réellement cet espace, du n'importe quoi...
paulo

Conservatoire du littoral !?

Le conservatoire du littoral semble rester ferme sur la position qui va dans le sens de l'intérêt général avec sa DUP, qui est toujours active ! Ouffffff !!!

..Prochainement.... Port-miou, devrait intégrer le futur parc national des calanques !!!! ...de ce fait, ne nous hâtons pas trop à prendre des décisions sur le dossier de la calanque et le futur de la carrière. Nous devons tenir compte de ce futur parc, et ne pas regretter ensuite d’avoir concilié et accordé la privatisation d’espaces significatifs de la calanque ou laissé se réaliser des projets !


Conseil Municipal du 23/07/01
La demande de DUP (Expropriation de la propriété Solvay de Port-Miou) est adopté ! (A suivre)...

Un dialogue de sourd entre le propriétaire la socièté Solvay, le locataire Denis godel et les élus !
Qelle alternative pour un réel projet global et à long terme sous la tutelle du conservatoire du littoral pour la protection de notre patrimoine et de l'intérêt général ?

- Que va faire la société Solvay ?
- Que va faire la justice ?
- Que pensent les diverses associassions des calanques, le GIP, l'ONF, le conservatoire du littoral...?

Rappel de l'historique du dossier "Port-Miou"

Le dossier de la fermeture de l’accès principal de la calanque de Port-Miou, intéresse de plus en plus de personnes qui demeurants loin de Cassis souhaitent connaître un peu plus l’historique du dossier.
Nous allons tenter de façon brève, mais explicite, de rappeler les principales étapes de ce que l’on peut nommer le dossier « Solvay ».

Depuis de nombreuses années le groupe « Solvay » exploitait une carrière sur le versant ouest de la calanque de Port-Miou.
Ce bail expirant en 1982, la municipalité a refusé de renouveler celui-ci, dans les soucis de stopper une véritable « défiguration » du site.

Le groupe Solvay, dans l’obligation de cesser l’exploitation, a très mal digéré cette décision et pire, lors de son départ forcé, a laissé ce terrain dans l’état alors qu’elle était obligé de le réhabiliter.

Mais Solvay après avoir défiguré le site a tenté de présenter des projets et il fut même question de projets immobiliers.

Entre temps ce site a été inclus dans le site classé du massif des calanques, mondialement connu, ou seules sont autorisées « les activités d’intérêt général et touristiques liées à la mer, compatibles avec les besoins de gestion des calanques », à condition de ne pas comporter d’habitat ou d’hébergement permanent.
Voilà donc le groupe Solvay coincé dans ses projets, dont d’autres proposés en 1998, ceux-là il est vrai allant plus dans le sens d’une prévention dans l’écosystème, mais dont les buts philanthropiques n’ont jamais vraiment étés établis.
Mais Solvay est un grand groupe et a trouvé une faille dans la législation, le bail emphytéotique, qui lui évitait une préemption de la part des collectivités de protection de l’environnement et de la commune de Cassis

Donc depuis plus d’une année, ce terrain a été vendu par l’intermédiaire de ce bail à un propriétaire, dont dès le départ, les projets se sont avérés plus que flous.

Depuis lors, tout contacts avec administrations et collectivités concernées, Préfecture, Conseil Général, Services maritimes, Conservatoire du littoral, ONF, GIP qui cherchent à préserver, dans l’intérêt général, l’avenir du site et la liberté d’accès au littoral et au massif, ont étés très difficiles avec le nouvel occupant des lieux.
Quelles questions se posent véritablement aujourd’hui ?

Comment se fait-il que ce locataire soit disant « lambda » a en sa possession tous les projets de Solvay ?
Comment se fait-il que la nouvelle association qu’il vient de créer "Port-Miou pour tous", dont d’ailleurs nous ne connaissons pas le nombre d’adhérents ( ????), affirme que les projets coûteux envisagés sur le site seraient pris en charge par Solvay ?
Ce nouveau locataire est-il vraiment animé de généreuses attentions ou n’est-il qu’un sous-marin du groupe Solvay ?
Son seul souci «officiel» est, dit-il, de vivre en toute quiétude dans sa demeure isolée au milieu de 26 ha. Pourquoi a t-il alors pris la décision de fermer l’accès principal de la calanque, alors que s’il avait simplement clôturé un périmètre qui peut-être conséquent autour de sa propriété, son objectif de quiétude, à laquelle d’ailleurs il a tout à fait droit, aurait été atteint.

Ce comportement lui a valu plusieurs procès verbaux pour non respect de la réglementation en site classé et infractions à la loi littorale. Procès-verbaux restés sagement sous le coude des fonctionnaires de justice, jusqu’à la médiatisation du problème aujourd’hui, ce qui peut faire penser que les choses vont s’accélérer enfin.
Dernière question et pas des moindres, pourquoi le groupe Solvay reste aujourd’hui absent des débats ?
Aurait-il atteint un de ces objectifs ?
Le Conservatoire du Littoral qui est un établissement public qui gère des fonds publics a été crée pour acheter des terrains le long du littoral (surtout) en vue de leur protection, est le seul à pouvoir à ce jour, intenter une action contre l’emphytéose, quant à la municipalité de cassis, elle va demander au Préfet l’expropriation du site pour cause d’utilité publique.

Ces procédures devant demander un certain temps, l’action que nous avons engagée (nous, citoyens de Cassis) concerne l’ouverture immédiate de l’accès emprunté depuis des lustres par les promeneurs, même lorsque ce site était exploité par Solvay.


Plus de grillages ni de clôtures électrifiées dans un massif protégé !

La manif de Port-Miou
samedi 16 juin 2001 !?! dialogue impossible!

La manif de Port-Miou
samedi 30 juin 2001 !?! une ouverture ?!

Port-Miou pour tous !?
sauf pour la famille BOUKHENIFRA

(La Presse sur le sujet !?!)

Ping Pong : D.Godel / JP Teisseire

(nos photos des clôtures du 13/06/2001)

Lettre de Bernard DEFLESSELLES Député des Bouches du Rhône
Conseiller Régional à Monsieur BOUABANE-SCHMITT (Sous-Préfet)

Message du 14/03/2001 dans le forum de André Jayne (élu)

Infos diverses sur le sujet...POS...etc..

NON !!! au V de Victor de la zizanie !

L'ass. Ecoforum ?! tracte du 23/11/02 : soutein à Denis Godel

Ecoforum (suite)... la réponse du Bourgmestre

samedi 9 juin 2001
Et si la bosse de Jean de Fleurette était fausse ?!
(investigation C-F)
Après la pose d'une clôture fermant le passage de la carrière à Solvay et l'introduction par le maire envers le nouveau locataire lors du conseil municipal en juin, suivie d'une confirmation de demande d'expropriation, nous nous sommes rendus sur le site afin de constater l'état actuel du problème…

Dès notre arrivée nous pouvons constater que la barricade grillagée ferme l'accés à la carrière, seul un petit sentier permet aux randonneurs et aux propriétaires de bateaux de poursuivre en empruntant les passerelles et difficilement le bord de la calanque après les effondrements des abords.
Sur place il y a déjà L'ONF et le GIP des calanques qui dresseront un procès-verbal sur deux points :
- Défaut d'autorisation préfectorale pour la pose d'une clôture défigurant un site protégé et classé.
- Pose de panneaux illégaux désignant le passage à emprunter pour se rendre aux calanques, (par un accès qui pourrait engager la responsabilité de celui qui a posé les panneaux)
Ils nous confirmeront aussi qu'il y a un non respect des us et avenant aux baux de Solvay pour le droit de passage des plaisanciers et des touristes sur la carrière solvay. (!?!)

Juste avant que nous repartions, arrive dans un gros 4X4 monsieur Denis Gaudel (le locataire à Solvay) immédiatement interpellé par monsieur Vincent de l'ONF.
Suite à un affrontement verbal vigoureux, monsieur Gaudel invite L'ONF à poursuivre avec son avocat coupant court à toute discussion!
Monsieur Gaudel nous invite " cassis-forum " à poursuivre notre investigation chez lui (à notre grande surprise) pièces à l'appuis de ses dires et des raisons qui l'ont poussés à installer la clôture " afin de faire réagir les pouvoirs publics "
Arrivés chez lui, nous pouvons constater que les documents relatifs à cette affaire, sont étalé sur 80% de la surface de la pièce !
De façon confuse mais passionnée, il tentera de démontrer son bon droit et celui de " Solvay " dont les projets ne sont pas, en toute évidence les mêmes que ceux du maire de cassis !

Pour nous, deux questions méritaient ce premier entrevu :

1 - Qui est ce monsieur Godel ? Un Homme des gros bonnets à Solvay ou un simple locataire des lieux ?
Sur cette première question, il prétendra vivre de commerces (restauration) sur la ville de Lyon !
Aux vues des documents en sa possession, concernant en majorité l'antériorité du dossier entre la ville, Solvay et les différents projets sur la zone, ce monsieur n'est pas là pour y faire du tourisme !
Sous une apparence relativement sympathique et de bonne foi, il ne nous fera que difficilement croire qu'il est un simple locataire amoureux de notre belle calanque ! Mais peu importe !

2 - Que faudrait-il faire, afin que vous retiriez les clôtures ?
- Que la mairie sécurise le site et en prenne la responsabilité en cas de problèmes liés aux passages des promeneurs (avec des fonds publiques ?... Alors que c'est Solvay qui aurait du sécuriser le site avant de l'abandonner après la fermeture de la carrière)
- Lui laisser le droit de restaurer le château et de reconnaître cette habitation et ses demandes de permis de travaux ! (alors que le site est dans une zone NDL et ND2m1 où les habitations sont proibées et qu'il le savait avant de venir)
- Lui installer l'électricité jusqu'aux bâtiments. (oui... mais pourquoi faire 400KW ?)
- Pourvoir jouir de son droit de propriété privée sur une surface de 3 hectares.(qui ne représentent que 10% de la surface totale)
(*Oui, mais, qui représentent à elles seules la plus grande partie de l'espace en bordure de la calanque et surtout la seule qui ait vraiment une valeur immobilière)

Nous pensons néanmoins, que la prise d'otages des cassidains n'est pas acceptable et nous démontrerons notre contrariété en organisant la marche de samedi prochain, où si les élus pouvaient y participer ( !?!) nous pourrions avoir une rencontre publique entre les deux parties sans hommes de loi interposés !

Les coups bas des pouvoirs publics eux aussi sont une réalité dans cette affaire, et les fonctionnaires semblent avoir des ordres pour ne pas faciliter l'installation de monsieur Godel (mais pourquoi?).
Même Pechiney aurait fait une demande de son droit de servitude de la canalisation des boues rouges (alors qu'ils devraient faire les canards ceux-là !)

La présence d'un autre Lyonnais locataire des terrains à Solvay à droite de la calanque nous paraît une coïncidence peu probable ! et des permis de contruire de plus de 1000m2 sont demandé en mairie sur une zone inconstructible par le canard ?!?
Il n'y a pas de doute, le problème est conflictuel entre Solvay et la Mairie, et je m'imagine un tour de table de gros hommes d'affaires bruxellois qui jouent au vire-vire, contrariés dans leurs projets pas la municipalité d'une petite commune du sud de la France (des fils de pêcheurs d'anchois) entourés de leurs savants conseils afin de reculer au maximum l'échéance inévitable d'une ouverture de ce site aux citoyens du monde entier plutôt qu'à un seul homme (surtout s'il était de paille comme la rumeur le dit, ce qui reste à prouver) !
Paul Truchon

(pour info) lettre d'un des conseils de Monsieur Godel à JPT :

Il a oublié de le dire dans sa lettre…
Il y a les clôtures et le reste…

Port-Miou pour tous : le premier pollueur de la calanque !
Comment monsieur Godel voudrait-il nous faire croire être pleine de bonnes intentions et défendre notre la nature !?